Lacrima

comme un ami me l'a conseillé,
je couche ma tristesse sur le papier,
mais comment oublier,
ce que ce petit bout a gâcher,
cédais ton fils chéris,
tu donnerais ta vie pour lui,
et quand il était la,
pour toi je n'existais pas,
j'aurais du éviter d'accepter,
car la douleur aujourd'hui de moi c'est emparer,
tant de compromis qui n'ont pas fonctionné,
du a cette jalousie tant éprouver,
aujourd'hui tu vas continuer ta vie avec lui,
mais moi tu m'a déjà effacer de celle-ci,
pourquoi tu m'as quitter?
et cette question à jamais je me la poserais...

c'est vrai j'ai fais cette bêtise
et maintenant c'est ma pire hantise,
je me rends compte peu a peu que je te perds,
et cela me désespère,
je voudrais tellement effacer,
tout ça de notre passer,
pouvoir toucher ton corps,
et arrêter ce silence de mort,
une dernière fois te toucher,
une dernière fois t'embrasser,
te dire je t'aime à chaque instant,
et te vouloir à tout moment,
Pourquoi c'est arriver?
alors que je voulais seulement t'aimer,
savoir que tu tien a moi,
et n'appartenir qu'a toi,
j'aimerais tant,
pouvoir te regarder dormir comme avant,
te dire dans le creux de l'oreille,
des mots qui n'ont pas de pareil,
quand tu me disais que tu m'aimais,
la chaleur en moi s'éveillait,
j'aurais tout fait et tout essayer,
pour encore un peu te garder,
j'aurais accepter beaucoup de choses venant de toi,
mais ton cœur a perdu sa foi en moi,
ce poème je viens de l'inventer,
pour toi le seul homme que j'ai jamais aimer,
tu es l'ange de mes rêves,
et tu hante encore ma vie,
maintenant mon cœur fait grève,
et seras tien pour toute la vie,
j'attends toujours patiemment,
le jour ou tu m'aimeras ardemment,
Mon bébé je t'aime,
et j'attends que tu n'ai plus de haine,
pour laisser place à la douceur dans tes yeux,
Celle que tu avais avant de me dire adieux.

Mon Corp contre ton Corp,
Nos coeurs sont en accord,
La flamme de tes yeux,
rien n'est plus merveilleux,
ton souffle sur moi,
ma vie pour toi.

Reste encore quelques instant,
N'efface pas ces moments,
On était si bien ensemble,
Mais je te perd il me semble.

Pourquoi aujourd'hui?
On s'était offert nos vie,
Je me suis offerte a toi,
Je t'ai tout donner de moi.

Mais elle est toujours là,
Pour nous séparer en trois,
Tu la désire tant,
Et tu l'aime autant.

Je te le demande une dernière fois,
Ne me lâche pas...

tu dis toujours avoir des sentiments pour moi,

mais tu sors avec une fille en ne pensant qu'à toi,

tu me dit que tu ressent encore des choses,

mais tu lui dit "je t'aime" et elle t'impose,

je me demande toujours à quel jeu tu joue,

je crois que si tu étais à ma place tu serais déjà fou,

malheureusement tes sentiments pour moi ne sont pas les mêmes,

et je sais que je t'aime beaucoup plus que tu ne m'aime,

j'aurais tant aimer ne pas devoir te défendre aux yeux de tous,

pour finir par douter de mes affirmations et de tous,

pourquoi tu ne m'aime pas simplement?

alors que pour toi mon coeur brûle ardemment,

j'ai besoin de te parler et de te voir encore,

et chaque soir en dormant je cherche toujours ton Corp,

j'ai besoin de toi et d'entendre encore ta voix,

trop besoin de te revoir et de te serrer contre moi encore une foi,

jamais j'abandonnerais cette histoire entre nous,

jusqu'à se que tu me regarde à nouveaux avec ce regard si doux....

On me dit de me taire,

Qu'est ce que la mort,
Par rapport a des regrets éternel?
Qu'est ce que la ùort,
Face a ce dilemme?
Être malheureux avec lui,
Être malheureux avec ma famille,
Je ne vois aucune sortie possible,
Juste une solution qui brille,
Les perdre lui et eux,
Pour me retrouver seule aux cieux,
Et que ce sois l'enfer ou le paradis,
Sa ne peu pas être pire qu'ici...

Après tant de mal tu reviens,
Après notre séparation sur ce chemin,
Je tombe dans ce dilemme mal saint,
Où je vais sans doute miser mon destin,
Pourrais-je un jour l’aimer comme je t’ai aimer ?
Alors que jamais tu ne quittes mes pensées ?
J’ai tant besoin de te revoir,
Mais je ne peu pas encore te pardonner,
Mais même si je souffre encore de désespoir,
Ma vie commençait à enfin remonter,
Maintenant que tu de nouveau la,
J’ai peur qu’elle bascule vers le bas

Comment te dire,
Sans te mentir,
Que sans t'avoir dans ma vie,
En quelque sorte elle serait finie,
Tu es ma joie de vivre,
La plus belle chose qui m'arrive,
Je ne sais pas expliquer ce sentiment si fort,
Sans que je sente brûler mon corps,
Je te veux pour l'éternité,
Et jamais plus te quitter,
Je veux te montrer mon amour,
Sans pour autant faire de long discourt,
Mais je ne peu m'empêcher de te dire,
Que je t'aime à en mourir....

Désolé pour mes saute d'humeur,
Pour tout mes mots de malheur,
Je ne cherche pas à te culpabiliser,
Juste à t'obliger à me parler,
Ce n'est pas juste de ma part,
Mais je ne laisse plus rien au hasard,
Laisse moi te dire et te crier,
Je t'adore et je te dis la vérité,
Je ne joue pas avec toi,
Je ne me comprends pas,
Pardonne moi pour mes connerie,
Aime moi pour ce que je suis,
Sois patient et tu verras,
Ce n’est pas la chance mais moi qui te souriras...
Voila ce que j'avais à te dire,
Et depuis hier je me fais des délires,
Je ne sais pas pourquoi je tien a toi comme ça,
Ça me fais peur comprend moi,
Après tant de souffrance,
Il me faut de l’endurance,
Sauras tu m'aimer et me protéger,
En échange de mon amour et de mon éternité???
Si je dois t'oublier je le ferais,
Mais sache que je ne t'oublierais jamais...

Il m'arrive quelques fois,
de retrouver une partie de toi,
de retrouver une partie de "nous",
celle d'un moment ou j'étais a genoux,
d'une période ou je t'aimais,
des instants ou je savais,
que jamais je ne t'oublierais,

Le temps passe et me lasse,
mes souvenirs peu à peu s'efface,
pourtant j'avoue que je ne peu oublier,
les sentiments et cet amour du passé,
je suis tombée sur tes mots,
ceux écris pour de faux,
ceux remplis de chaleur,
celle de ta peau au milles saveurs.
celle de tes lèvres que j'ai gouté,
et qui m'avaient envouté,

Relire ces phrases avec émotions,
ont l'effet sur moi d'un poison,
celui qui avait contrôler mon coeur,
et qui aujourd'hui me fait peur,
car j'avoue que jamais je n'oublierais,
ces sentiments que pour toi j'éprouvais...